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Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458]

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Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458] Empty Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458]

Message  Ratou42 Dim 12 Déc - 18:18

Liste des candidats potentiels :



- Beatritz

Frais d'inscription : 7000 / 7000 écus
Le règne en quelques mots



  • Conserver les compétences des institutions
  • Recentrer leurs objectifs dans une bonne compréhension de l'essence duale du Royaume de France
  • Offrir à l'Eglise les moyens nécessaires à sa mission spirituelle
  • Faire vivre la Cour de France.
  • Réformer en concertation avec les acteurs politiques concernés (Grands Officiers & Officiers de la Couronne, Grands Feudataires, serviteurs de l'Eglise, etc.)
  • [HRP] Garder à l'esprit le plaisir de jouer de chacun
Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458] 3lisb

Programme complet

Introduction - Des principes généraux

Repenser le pouvoir royal en présence d'un souverain actif

La nouvelle logique dans laquelle s'inscrit le Royaume de France, fondant une monarchie élective à la place d'une monarchie héréditaire, inscrit la Royauté de France dans un nouveau cadre, au milieu duquel se trouve un Roi ou une Reine là par sa volonté et non sa naissance. Jusqu'à présent, la monarchie héréditaire a porté sur le trône des Rois de moins en moins préoccupés des affaires de leur Royaume. Il ne peut qu'en aller autrement dans une monarchie où il faudra, pour être Roi, avoir prouvé aux électeurs sa détermination et sa compétence.

Le Roi incarne les trois pouvoirs : judiciaire, exécutif, législatif.
L'erreur serait de croire que le Roi, parce qu'il sera actif et intéressé par les affaires de son Royaume, sera l'unique détenteur de ces pouvoirs dans la pratique. Le bon gouvernement doit passer par la consultation du peuple, incarné par ses élites temporelles et spirituelles. Le Roi ne peut tout savoir seul. Il ne peut tout décider seul.

La désignation d'un Roi ne saurait donc, en aucun cas, remettre en cause l'existence et l'importance d'institutions royales. Celles-ci rassemblent bon nombre d'hommes et de femmes aux compétences pointues, dans tous les domaines du gouvernement, dont la France ne peut que s'enorgueillir. La seule préoccupation du Roi devra être d'en améliorer l'efficacité, et d'y trouver tout le soutien et le conseil nécessaires au bon gouvernement de son Domaine, d'une part, du Royaume, d'autre part.


Etablir les fondements d'un Royaume fort de sa diversité

Il existe en effet une différence fondamentale entre le Royaume et le Domaine du Roi. C'est l'un des points sur lesquels je souhaite insister le plus : il n'est ni dans les moyens, ni dans l'intérêt du Roi et des institutions royales de vouloir étendre le même pouvoir sur le Domaine Royal et sur les provinces vassales de la Couronne. Le Royaume de France a pour singularité d'être composé de ces deux entités territoriales et administratives que sont le Domaine Royal, d'une part, les autres provinces, de l'autre.
Il faut faire de cette singularité française une force. Cela répond à un besoin que les problèmes actuels de la Couronne de France cristallisent :
-Les provinces hors Domaine Royal n'ont jamais été aussi nombreuses à se défier d'un pouvoir royal trop présent, bridant leur liberté de s'auto-administrer.
-Les régions du Domaine Royal paient pour les actions menées par les institutions royales hors du Domaine Royal, plus qu'elles ne jouissent des privilèges que devrait leur conférer leur statut de Domaine Royal.
La gestion actuelle du Royaume a eu tendance à ne prendre que faiblement en considération cette différence qui devrait faire la force de la France.

Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458] 3lisb

I - De la continuité et du changement des institutions

Les institutions royales ont prouvé leur valeur et leur rigueur

Depuis des années, les administrations royales se sont développées, dans tous les domaines d'exercice du pouvoir. Institutions militaires, économiques, judiciaires, héraldiques, administrations centrales, offices provinciaux : les domaines d'action sont variés, interconnectés, et la collaboration entre toutes les institutions royales fait leur force.
La France peut être fière de la compétence de ses institutions. Elles ont su parer à la plupart des situations en l'absence d'un Roi actif. Elles ont su, dans la plupart des cas, privilégier dans leur recrutement la compétence à la qualité sociale, ce qui est un autre objet de fierté pour la Couronne.
Il demeure toutefois certains points à améliorer au sein de l'administration royale, s'inscrivant dans la continuité de leur création et évolution.

Des délais d'accomplissement des missions de l'administration royale

De profondes carences d'efficacité existent au sein des institutions royales. La compétence n'est pas l'unique qualité nécessaire au bon fonctionnement d'une institution. Actuellement, les principaux problèmes que peut rencontrer l'administration royale ont deux origines :
-la dispersion des missions en et hors Domaine Royal avec un degré d'implication égal, dont la réforme est l'objet du prochain chapitre.
-une disparité de l'efficacité avec laquelle les administrations royales gèrent les affaires qui se présentent à elles. Cela concerne en particulier la gestion des délais de traitement des affaires, dont il est question dans cette section.

Ainsi, des administrations pèchent non par leur mode de fonctionnement, mais par la lenteur de leur fonctionnement. Lorsque cela vient des membres qui composent l'institution, il conviendra d'en changer ; mais la plupart du temps, il s'agit surtout d'absence de règles régissant les délais, d'absence de procédure minutieusement réglée.
La meilleure illustration des réformes à mener en la matière est le Tribunal Héraldique : son existence est ancienne, mais son activité réelle n'a débuté qu'avec la réécriture de ses statuts, axée sur le mode d'instruction des dossiers, et les délais à respecter.
Conjuguer compétence et délais raisonnables d'accomplissement des missions des institutions royales ne pourra que servir leur efficacité et leur crédibilité, et soigner les carences dont certaines, comme la Haute Cour de Justice, souffrent actuellement. La Haute Cour de Justice se doit d'autant plus d'être réactive, qu'elle est le lieu de jugement des plus hauts officiers ou feudataires de la Couronne. S'ils ont commis un crime d'Etat, on ne peut laisser passer plusieurs mois avant de les sanctionner. S'ils sont accusés à tort, on ne peut laisser le soupçon peser plusieurs mois sur eux, dans l'attente d'être disculpés.

L'objectif d'efficience et d'équilibre d'une institution pourra être servi par une réforme de sa hiérarchie, de son mode de fonctionnement, du mode de désignation de ses membres, par la mise en place de protocoles d'action à suivre, ou toute autre mesure que ses membres jugeront nécessaires ; car toute réforme sera, bien entendu, menée en concertation avec les officiers royaux concernés. Ils sont les plus à même de conseiller et d'orienter les réformes relatives à l'institution qu'ils connaissent et servent. Ils sont les témoins quotidiens de ses points forts et de ses faiblesses. Il n'est qu'un point sur lequel aucune négociation ne sera possible : l'objectif d'efficience et d'équilibre.

De la représentation du peuple

A la Pairie et au Conseil des Grands Feudataires de la Couronne, où s'incarne respectivement le conseil de la noblesse et celui du peuple de France, il convient de mettre en place d'autres modes d'expression et de gouvernement du peuple, représentant l'Aristocratie, le Clergé et le Tiers-Etat, défendant leurs intérêts respectifs, selon les modalités qui paraîtront les plus commodes. Les Etats Généraux du Royaume seront une possibilité (non exclusive) de représentation et d'expression de leur volonté.

Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458] 3lisb

II - Des changements nécessaires dans les priorités de gouvernement

Distinction entre le gouvernement du Domaine Royal et les rapports avec les provinces vassales du Royaume

Comme dit précédemment, le Royaume de France jouit d'une singularité : la distinction entre le Domaine Royal et les provinces vassales. Il convient d'en comprendre l'essence féodale, et de gouverner en conséquence. L'erreur est de croire que les institutions royales peuvent s'imposer dans les provinces vassales avec la même légitimité que dans le Domaine du Roi.

Le Domaine Royal est la propriété du Roi. Il le gouverne absolument comme il l'entend. C'est là que doivent agir et peser, avant tout, les institutions royales.
Les provinces vassales sont des dépendances de la Couronne de France. La féodalité implique la promesse royale de protection, de justice et de subsistance. Elles lui apportent en retour leur conseil, leur fidélité et leur aide. Les institutions royales sont des outils que le Roi met au service des provinces, pour garantir la cohérence de son royaume. Elles ne doivent en aucun cas se substituer à l'autorité et la volonté des régnants des provinces, ou aux institutions locales, qui répondent à leurs propres coutumes.


Le Domaine Royal

Le Domaine Royal doit être le premier bénéficiaire des institutions royales et le premier protégé par l'Ost de France. Il doit être le premier à bénéficier des dépenses royales, plutôt que payer pour les actions menées hors du Domaine Royal. Ses dirigeants temporels, incarnant le pouvoir du Roi au sein de son Domaine, entretiennent avec lui des relations privilégiées d'écoute, d'assistance et de privilèges.

C'est dans cette optique qu'il est important de bien définir les pouvoirs des régnants du Domaine Royal et les pouvoirs de la Curia Regis dans le Domaine Royal. Ces deux entités ne doivent ni se faire concurrence, ni avoir les mêmes attributions, ou ce serait effacer l'une au profit de l'autre.

Le Domaine Royal est le domaine du Roi, mais également de son peuple. C'est sa volonté avant toute autre que le Roi doit suivre. A cet effet, il ne serait pas dénué de sens d'instaurer des Etats Généraux du Domaine Royal, si cela répond à une attente des habitants du Domaine Royal ; car, comme je le dis et ne crains pas de le redire : aucune réforme ne doit être imposée, tout doit être mené dans la concertation et le dialogue


Les provinces vassales

Parce que pendant bien longtemps, les institutions royales n'ont pas laissé aux provinces vassales de la Couronne de France l'autonomie nécessaire à leur épanouissement et au développement de leurs spécificités culturelles, nombreuses sont elles qui se retrouvent aujourd'hui en rupture avec la Royauté.

Notre objectif sera de mettre fin à ce déséquilibre regrettable en rendant aux provinces vassales leur liberté de gouvernement et de désignation de ses représentants ; il n'y a pas de raisons qu'un Roi refuse de reconnaître comme vassal à la tête d'une province, un homme ou une femme que son propre peuple a désigné pour le gouverner, quels que soient les défauts que les institutions royales lui trouvent. Envoyer une armée royale dans une province vassale pour tenter de déloger un régnant soutenu par son peuple ne devrait arriver qu'en de rares et extrêmes cas, en particulier lorsque le régnant appelle ouvertement à la guerre contre la Couronne de France. Dans tout autre cas, il s'agirait d'un gaspillage d'énergie et de dépenses royales inapproprié, qui seraient mieux employées au maintien de la sécurité et à l'épanouissement économique du Domaine Royal.

De plus, le régnant d'une province vassale de la Couronne n'est pas un simple gestionnaire. Il est le dirigeant de son peuple et doit disposer de pouvoir réels, à valeur perpétuelle.
A titre d'exemple, dans le domaine juridique, la grâce d'un régnant à l'égard d'un délinquant ou criminel doit avoir une valeur effective dans sa province. Un délinquant gracié par son Comte ou son Duc ne devrait pas avoir à solliciter une grâce royale pour avoir le droit d'être anobli dans sa province.

Loin de se désengager du devenir des provinces vassales, le Roi et ses institutions demeureraient à leur disposition et à leur service, pour remplir au mieux le devoir de protection, de justice et de subsistance de la Couronne de France envers ses vassaux. La diplomatie royale peut également avoir une charge de médiation lors d'affrontements entre deux provinces vassales.

Ainsi notre volonté est de façonner une couronne royale qui, tel l'arbitre de paix, apportera la liberté et l'autorité nécessaires à des provinces, des régnants et leur conseil, qui se devront de s'auto-responsabiliser. La liberté apporte des droits mais également des devoirs. L'autonomie politique, qui reconnaitra et stipulera officiellement la compétence de chaque province, dans le cadre de l'équilibre politique essentiel entre les institutions royales et les provinces, sera un point cardinal de notre règne. En d'autres termes, il s'agit d'un juste retour au droit féodal, qui implique une unité de corps entre le suzerain et son vassal, une interconnexion des droits et des devoirs mutuels, et non une relation dirigeant-exécutant.

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III - De l'intégration de l'Eglise Aristotélicienne dans le gouvernement du Royaume de France



De l'implication de l'Eglise dans le Royaume de France

Le Très Aristotélicien Roi de France est source de tous les Pouvoirs qu’il tire du Créateur par le truchement de son sacre et du peuple. Il prend exemple de la vie des prophètes Aristote et Christos, ainsi que des Saints. A cet égard, il est le premier défenseur des droits et privilèges de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine au sein de son royaume.
Le Roi doit prendre toute disposition de nature à encourager la vie spirituelle de son peuple et les vocations ecclésiastiques dans son Royaume. Dans toute la mesure du possible, il impliquera les autorités religieuses dans son exercice du pouvoir.


Des privilèges du Clergé au Royaume de France

Outre les dispositions d'ors et déjà actives, impliquant le Clergé de France dans les institutions royales, il convient de mettre en place des dispositions particulières en faveur du Clergé, notamment en matière nobiliaire :
-dispositions autorisant la transmission, par les clercs, de leurs titres nobiliaires à leurs proches, sans perte de qualité.
-dispositions favorisant la création de fiefs de charge, de basse ou moyenne noblesse, liés à une cure, un diocèse, un archidiocèse ou un ordre militaro-religieux ou religieux (cf. ci-dessous, pour le cas particulier du Domaine Royal)


Des privilèges du Clergé dans le Domaine Royal

En sus des dispositions sus-mentionnées, sera associé à chaque évêché ou archevêché dont tout ou partie de la juridiction de trouve dans le Domaine du Roi, un fief de moyenne ou haute noblesse, afin de pourvoir aux besoins des serviteurs de l'Eglise et à ses bonnes œuvres.
D'autres dispositions peuvent être envisagées, si elles répondent à un objectif d'encouragement des vocations, de diffusion de la Foi ou de défense conjointe des intérêts spirituels du Domaine Royal et de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine.


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IV - De la cour royale


Lieu d'activité où s'incarne le pouvoir royal

Le Roi vit au Louvre et gouverne depuis Paris. Il est entouré des gens de sa Maison et préside aux festivités organisées à la Cour. Sa présence justifie l'existence et l'activité d'une cour royale, comme la présence d'une Reine justifie le bourdonnement de la ruche.
Il y tient audience et y reçoit les doléances de ses vassaux.

Lieu où s'illustre la noblesse de France

La Cour de France est un lieu ouvert par défaut à la noblesse du Roi (celle du Domaine Royal) et à la haute noblesse de ses provinces vassales. C'est, entre tous, le lieu où se mêle, se rencontre et s'active la noblesse de France.
Ces allers et venues incessants justifient l'existence d'un personnel de la Maison du Roi nombreux et qualifié, recruté au sein même de la noblesse de France.

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V - Portée coutumière du règne et conclusion

Les actes, décisions, arbitrages pris lors de ce règne, seront fondamentaux à bien des égards pour l'avenir et la postérité ; sans rien retirer de la marge de manœuvre des prochains occupants de la fonction royale, il est néanmoins certain, qu'une certaine forme de coutume s'imposera durant ces prochains mois.

Nous tenterons donc, avec le sens des responsabilités, d'ouverture qui nous habite, et que nous avons toujours démontré à travers de nos charges passées, de poser les fondations de cette nouvelle monarchie élective d'essence féodale, aristocratique et « libérale », de créer en sus de l'émulation et du dynamisme par le haut, les arbitrages d'où découleront la forme coutumière d'exercice de la fonction royale.

Ainsi, en fonction des conseils avisés des vassaux de la couronne, des institutions compétentes, et de l'expérience des plus remarquables et reconnus serviteurs du Royaume, en sus de notre réflexion personnelle, nous modèleront ce qui servira de base, de recours, de fondations solides sur lesquelles les futures générations pourront s'appuyer, pour construire, à leur tour, leur destin.

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[HRP] Des nouvelles opportunités de RP : tout est possible


La distinction entre province en DR et province hors DR justifiée par l'Histoire et l'IG

La construction des provinces IG suit un schéma de décentralisation totale.
L'actuelle politique royale suit un schéma de centralisation quasi-absolue de l'autorité.

Il y a dans ce constat un paradoxe qu'il convient de corriger, afin de redonner aux actes royaux une cohérence. Quelle est en effet la cohérence de dire "le Comte du Béarn est félon" s'il est dans la pratique impossible d'aller le déloger IG avant la fin des deux mois de son règne ? Ce serait mettre en branle l'Ost, traverser la France, peut-être bien échouer, et revenir, tout cela aux frais des caisses royales, donc d'un Domaine Royal délaissé par ailleurs.

L'IG étant fondé sur le pouvoir individuel des provinces, la centralisation totale de l'autorité et le pouvoir absolu du Roi sur toutes les provinces est un non-sens. C'est partant de ce constat que le programme de mon personnage a été conçu : un retour à davantage de responsabilité des provinces, des peuples (qui sont responsables des régnants qu'ils désignent ; le Roi ne devrait pas interférer dans ce choix), et une attention privilégiée accordée au Domaine Royal : il ne doit pas payer pour des actions menées hors Domaine Royal !


La Cour royale : lieu de toutes les intrigues

La Cour royale était un lieu de passage, d'allers et venues constants. L'accès doit en être donné à tout noble du Domaine Royal, et à tous ceux qu'un noble du Domaine Royal veut y faire entrer. A tout noble de Haute Noblesse provinciale.

La Cour est un lieu où doivent régner les factions et la méfiance. Un Grand Officier comme un Roi peut tout à fait s'y faire assassiner.

Je considère qu'élire un Roi, c'est aussi, d'une certaine façon, désigner un master-joueur qui sera le point de bascule de bon nombre de RP. Il donnera l'impulsion du RP de Cour, et ce RP, je l'imagine plein d'incertitudes, de tractations, de pouvoirs et de contre-pouvoirs, de vulnérabilité, dont le Roi lui-même peut être victime.

Pour donner le ton, je m'engage, dès les premières semaines du mandat, à étudier avec sincérité toute proposition de RP d'assassinat de la Reine et, pour toute proposition cohérente sur les moyens mis en œuvre (RP) et la façon d'atteindre la Reine, à jouer le RP et tirer aux dés sa réussite ou son échec.


Jouer le jeu de l'opposition

Le personnage Béatrice ne peut pas plaire à tout le monde. Béatrice peut ne pas aimer tout le monde.
Je ne considère toutefois pas comme générateur de RP ou comme arme politique crédible sur la durée, la destitution des opposants. Si c'est très facile dans les RR, d'un mot, de nier à tel ou tel son titre, cela ne correspond à aucune facilité historique réelle. Un Roi est bien souvent l'objet des factions qui rôdent à la Cour, et se doit de composer et régner malgré des opposants influents, voire parfois, plus riches que lui (et dans le monde, le vrai, la richesse est souvent la clé du pouvoir).

C'est pourquoi Béatrice ne saurait être une Reine qui destitue ou exécute sur un caprice. Il faut un procès héraldique pour destituer de la moyenne et haute noblesse ; la Reine se pliera à cette coutume, ne serait-ce que par crainte de représailles ou de mauvaise presse.

En terme de plaisir de jeu, s'il plaît à un joueur de jouer un noble très titré, je ne me crois pas l'autorité de lui ôter ce plaisir, sans que son personnage n'ait rien fait de répréhensible, sinon déplaire. Le plaisir de jouer doit être le plaisir de tous.

En un mot, ce règne ne sera pas à la seule faveur des partisans de la Reine et/ou du plaisir de jeu des potes de la joueuse de la Reine ; il peut voir également s'épanouir des opposants, voire de savoureux RP de tensions, de complots, d'attentats... Tout est possible, en RP !



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- Clemence.carpadant

Frais d'inscription : 7000 / 7000 écus
Alors que vous vaquez à vos occupations, vous êtes soudainement distrait par de tonitruants sons de trompettes. Curieux, vous allez vous rendre compte par vous-même de quoi il retourne, lorsqu’un crieur public, devant les trois trompettistes que vous avez entendus plus tôt, déroule un long parchemin et fait son office.

Oyez, oyez, bonnes gens du Royaume de France ! Venez ouïr le projet de Son Altesse Clémence, princesse de Montmorency, pour la Grandeur & la Prospérité du Royaume ! Cette noble dame de qualité se porte prétendante à la succession de la Couronne de France. Son plus ardent désir sera de régner pour le Bien Commun, le bonheur de son peuple et la défense de la Vrai Foi. Sans plus attendre, voici son projet et sa vision, point par point.

Le crieur public se racla la gorge avant de poursuivre sa lecture.
Partie I : La Charte du Royaume, Les États Généraux, et les Cahiers de Doléances https://2img.net/r/ihimizer/img819/4158/section3.png
Partie II. L’Église Aristotélicienne https://2img.net/r/ihimizer/img812/7313/section21.png
Partie III : Le Domaine Royal https://2img.net/r/ihimizer/img580/1061/section31.png
Partie IV : Les relations entre la Couronne et les Feudataires https://2img.net/r/ihimizer/img41/781/section4.png
Partie V: La Cour Royale https://2img.net/r/ihimizer/img130/2780/section5.png
Partie VI : Amélioration du système de contrôle des élections par la Pairie. https://2img.net/r/ihimizer/img837/6839/section6.png




- Dragonet

Frais d'inscription : 7000 / 7000 écus

Fondement
Lorsqu'il décrivait le mode de gouvernement idéal, Aristote mettait en valeur trois d'entre eux: la Royauté (un homme se dévoue pour l'intérêt du peuple), l'Aristocratie (une élite se dévoue pour l'intérêt du peuple), et les assemblés populaires (un groupe d'homme se dévoue pour l'intérêt du peuple).

Ce système idéal semblait représenté par le Roy, la pairie et les conseils provinciaux. Malheureusement ce système est tombé dans la corruption : Le Roy se désintéressa du peuple et permis la venu d'un Grand maitre de France devenu tout puissant (tyrannie), la pairie oubliant ses devoir favorisa ses intérêts personnels de puissance (Oligarchie, reconnu par Levan III lui même), et nombre de provinces favorisèrent la démagogie, trompant le peuple dans le seul intérêt de quelque uns d'entre eux. Le seul perdant fut évidement le peuple, et notamment tout ceux qui avait soif d'agir et d'entreprendre. Je pense que tout homme ou femme honnête et intègre prenant la peine de regarder ce qui l'entoure trouvera les traces de cette corruption autour de lui. Lorsque j'entends dire certains qu'ils ne veulent surtout rien changer dans les institutions, j'entends la clameur de ces corrompus qui offrent leur soutient en échange de leur privilège maintenus.

Mon intention est de bâtir avec chacun d'entre vous un nouveau royaume, une seconde cité des hommes où Raison et Foy dominent pour accéder à cette finalité que donnait Aristote à l'homme: le Bonheur (qui est chez chacun un équilibre entre vice et vertu, et non un état végétatif pleins de bon sentiments) Trois aspects vont être privilégies :La légitimité, la délégation des pouvoirs et la pluralité *** La légitimité, c'est ce qui vient du ciel et de la terre: Le Roy sera sacré et reconnu par Dieu et par le peuple. Comte et duc seront reconnu par le Roy et le peuple Maire seront reconnu par les comte/Duc et le peuple. *** Ce pouvoir légitime sera délégué à des cours Souveraines et aux provinces et village. Le pouvoir du Roy a proprement dit se trouvera au Louvre, qui comprendra le conseil privé (incluant le chambellan, le secrétaire d'états, le Grand maitre de France notamment) , la curia regis (Les Grands officiers), mais également une vrai cour (Haute noblesse, ordre du Lys, vassaux d'ile de France) et une maison du roy mis à l'honneur. Les cours souveraines seront aux nombres de 5: et auront pour objet d'organiser le pouvoir régalien du Roy: Justice, protection, subsistance. -Le parlement de Paris (comprenant la pairie, chambre haute et le conseil des feudataires, chambre basse). Ils établiront les ordonnances du royaume. -Le palais de Justice (comprenant cours d'appel, tribunal héraldique, Haute cour de justice,..), chargé de veiller au respect des lois. -L'Arsenal (regroupant les Ordres royaux, la connétablie et la prévôté) assurera le devoir de protection de la couronne à ses vassaux -L'académie Royale (un lien profond se fera avec la maison ecclésiastique royale ou le collège saint Louis), deviendra phare du royaume de France, le faisant entrer dans une ère de Lumière intellectuel et de raison, face à l'Obscurantisme passé. -La chambre des comptes et des aides qui aura pour but le développement économique et la prospérité du royaume, aidant conseil et mairie qui le souhaite. (Une lettre sera par exemple envoyée par les intendants à chaque maire nouvellement élus, pour mieux le guider) *** La loi sera composé des éléments suivants : Les décrets (Royaux, Ducaux, municipaux) a porté limité dans le temps ou dans l'espace. Les ordonnances votées par le parlement, organisant les différentes activités du Royaumes (guerre, économie, Héraulderie, ..) Les chartes des provinces ou des communes : Chaque charte, proches des coutumiers avec l'église, sera un contrat moral et juridique entre la couronne et ceux qui lui prête hommage. Elles définissent la limite des droits et devoir de chacun, et peut être variable d'une province à l'autre, d'une quasi autonomie vis a vis du roy à la plus totale soumission. Nombre de droits et privilèges en matière de monopole économique, religion, justice, Heraulderie, ou autres pourront être ainsi accordé. Les chartes des institutions, guildes, ordre chevaleresque, communauté religieuse. : La pluralité sera donc encouragée, et à un modèle parisien centralisé actuel, nous prônons la richesse des collectivités régionales. Les traités : fédérative des relations au sein du royaume et au delà, nous favoriserons les alliances locales (Ponant, deux fleuves, entente pyrénéenne, Domaine royale, Hanse,..) auquel nous définirons des relations avec la couronne. Ainsi l'Entente pyrénéenne sera la garante de la protection du royaume vis à vis de la péninsule ibérique, le ponant fournira une base de l'armada royale, les Deux fleuves constituerons le cœur de notre système de défense contre l'Empire etc... Notre diversité créera notre puissance et notre richesse. Car non, le monde est tout sauf bipolaire, quoi qu'en pense certains. Enfin les coutumes définirons les lois locales


L'ensemble de ses éléments ne sont que la Trame de ce que je veux apporter aux royaumes de France. Il va de soi que je vais détailler durant la campagne ailleurs qu'ici, via l'AAP ou des débats publics. Je me tiens également a la disposition de tout ceux qui souhaite m'écrire pour des renseignements supplémentaires. Ma vision du Roy est celle que nous à transmis Oane, le premier guide des hommes: privilégier l'écoute, l'amitié, la sagesse en tant que guide plutôt que l'apparat et la domination. Mais au delà de la construction d'institution fiable, d'une richesse de développement au sein du royaume pour lequel j'ai de grande ambition et de la lutte contre la corruption, je vous propose ce qu'aucun autre postulant ne vous proposera: Une histoire, et un destin, dont chacun d'entre vous pourra être un des maillons et qui inscrira le royaume de France dans une tradition puissant ses racines dans plusieurs milliers d'années d'histoire, et fera du royaume un phare artistique, intellectuel, spirituel, mélangeant art courtois, chevalerie spirituelle, ou sciences, alchimie ou encore d'art occulte, à la frontière entre une époque de féodalité sublimé, d'antiquité retrouvé, et de lumière naissante, dont les racines se puiseront autant dans la Fronde (1453) ou l'ère du renouveau (1455) que dans l'histoire plus ancienne (324 par exemple, pour le concile de Nicée) C'est cette aventure là que je veux vivre avec vous.



- Kilia


Frais d'inscription : 7000 / 7000 écus
Fédérer, réunir, écouter, aimer son peuple, pour que tous ensemble nous avancions pour ce Royaume. Votez une Reine! Votez Kilia Oui c'est là! Votez KILIA




- Mclegrand


Frais d'inscription : 7000 / 7000 écus

Il était une fois...

Il était une fois le Royaume de France.
Un grand pays. Très grand. Avec onze comtés, douze duchés, des dizaines de milliers d'habitants, et plein d'armées.
Ce pays avait un roi sage à sa tête, depuis fort longtemps, qui se dédiait pleinement à l'étude des livres.

Et un jour, sans raison apparente, ce roi abdiqua en faveur du vote.

Ce jour-là, les certitudes de tous furent ébranlées. Les opportunistes se mirent à douter. Les plus Grands se mirent à craindre. Les plus faibles se mirent à penser. Les accusés se mirent à espérer.
Et, surtout, les idéalistes se remirent à rêver.



Car c'est par le commencement qu'il est nécessaire de commencer, je vais d'abord me présenter.
Je suis conscient que la plupart d'entre vous ne me connaissent pas... et s'il est une chose importante que vous devez savoir avant de faire le choix que vous aurez à faire, c'est bien de savoir à qui vous avez affaire. Mieux, en tout cas.

Vous ne me connaissez pas, et pour cause. Je ne suis ni un militaire de carrière, qui aurait voyagé toute sa vie, ni l'un des grands de ce monde.

Je me nomme Mc, seigneur de Gaudigny, vassal de Rhân de Crocy de Boiscommun. J'ai, lors de ma vie, touché à pas mal de domaines, allant de la soule, comme arbitre, à l'économie, en passant par la justice et le droit, les études, l'Eglise, en prêchant comme en étant diacre, le commerce, et surement quelques autres trucs.


Je suis actuellement grand audiencier de France, un poste à la chancellerie royale.

Dans ces domaines, j'ai beaucoup appris, et s'il est une chose que j'ai retenue plus qu'une autre, c'est que l'homme sage doit participer à la vie de la Cité.

C'est pour cela que vous me voyez là... et à ceux qui me disent que c'est beaucoup d'argent investi... je leur poserai la question... à quoi d'autre aurait-il pu servir, de plus important que de servir des idées à ce niveau ?



La puissance de construire ne se trouve pas dans le bâtiment qui est construit; et si la puissance de guérir peut se trouver dans l'être qui est guéri, ce n'est pas du moins en tant qu'il est guéri.

Telle fut la dernière phrase importante de Levan le Troisième, roy de France.

Il s'agit donc d'être bâtisseur et médecin.
Bâtisseur, car, si tout, les institutions, la Cour, s'est développé autour de Levan III, son retrait lui a laissé peu de place et il n'était consulté qu'en fin de débats. Il s'agit donc de bâtir un nouvel équilibre autour d'un roi, qui loin de rechercher le bonheur dans une forme de contemplation, participera à la vie de la Cité.
Médecin, car il s'agira de veiller sur le Royaume, comme un médecin sur son patient. En effet, certaines parties du royaume sont gangrenées, par de nombreux facteurs : les marchands ont de plus en plus de mal à exercer dans des duchés bien trop intrusifs, voire paranoïaques. Par endroits, des libertés qui sembleraient pourtant basiques, acheter, vendre sont limitées. Il s'agira de trouver des solutions à ces problèmes, tout en respectant l'ordre établi : il n'est nullement dans mon intention de bouleverser les institutions, ni de réformer la Cour.



Notre royaume, comme vous le savez, ou pas, est composé de deux entités : le Domaine Royal, propriété du Roi, et les Provinces vassales, qui font allégeance à la Couronne de France.

Cette distinction est primordiale : Un roi est en droit de tout exiger du Domaine Royal, tandis qu'il n'a qu'un rapport de suzerain à vassal envers les autres.

Je compte donc laisser une relative autonomie aux provinces vassales sans m'immiscer dans leurs affaires internes, dans la mesure du possible.

Dans le Domaine Royal, en revanche, le Roi, comme maître en son Domaine, se doit d'être présent. Je compte donc m'occuper en premier lieu de celui-ci, et vérifier, avec l'appui de la Curia dont c'est le rôle, que les régnants sur ces provinces prennent bien soin de celles-ci. Le roi ne saurait tolérer que l'on prenne peu soin de son domaine.

La Pairie est l'organe législatif du royaume, et propose des lois au Roi qui les ratifie. Il semble donc normal que le Roi prenne une part active à son fonctionnement, et s'appuie sur celle-ci pour prendre de grandes décisions lorsqu'il y a lieu.


Dans un conte dont j'ai oublié le nom, on peut trouver :

Car le roi tenait essentiellement à ce que son autorité fût respectée. Il ne tolérait pas la désobéissance. C’était un monarque absolu. Mais comme il était très bon, il donnait des ordres raisonnables.
« Si j’ordonnais, disait-il couramment, si j’ordonnais à un amiral de se changer en oiseau de mer, et si l'amiral n’obéissait pas, ce ne serait pas la faute de l'amiral. Ce serait ma faute. »


Et c'est ainsi que je compte gouverner : Demander de chacun ce qu'il peut apporter, ni plus, ni moins. Pour que le royaume fonctionne, il faut à la fois que chacun puisse fournir ce qu'il peut fournir, et qu'il le fournisse effectivement.



Il y a le Royaume, mais le royaume n'est pas tout. Nous avons des voisins, à savoir le SRING, l'Helvétie, la Hollande, les royaumes Espagnols, la Bretagne et l'Angleterre.

J'ai déjà pu signifier que je n'étais pas militaire. Je n'en suis pas moins capable de m'entourer d'hommes compétents et avertis, à même de me conseiller dans ces domaines. Mais pour ce qui nous préoccupe, à savoir mes intentions, elles ne sont pas belliqueuses... Régner sur le Royaume semble déjà une lourde tâche. Je compte donc laisser le dialogue aux diplomates dont c'est le rôle, en ne m'y intéressant qu'en cas de problème diplomatique grave.

D'autre part, le dernier acteur majeur que je n'ai pas cité est... la très sainte Eglise Aristotélicienne. Mes positions religieuses sont assez claires : Sans aller jusqu'à déclarer la guerre aux hérétiques, je ne supporterai aucune autre religion que l'aristotélisme en domaine royal, ni n'accepterai qu'une province vassale puisse restreindre l'activité de celle-ci de quelque manière que ce soit. Je tâcherai de maintenir des liens forts avec elle, et être à son écoute tant que faire se peut.



Lors de ces élections, c'est un choix que vous, habitants du royaume, régnants, allez devoir faire.

Le choix entre voter pour moi, et oser l'idéalisme allié à l'expérience, la confiance en l'avenir alliée aux souvenirs du passé, pour un roi qui se mettra en quatre pour sortir le royaume du marasme institutionnel et économique dans lequel il est plongé...
ou ne pas le faire.

Pour un royaume qui reprend un nouveau souffle,
Pour un royaume qui redevient ce qu'il aurait toujours du être,
Pour un roi qui a une grande connaissance des institutions, mais qui a su rester hors des clans de la Cour.
Pour un roi, tout simplement.



Scellé le 4 décembre pour publication
Election du futur Roi ou Reine de RR [Décembre 1458] Mccontourpetit2




- Nebisa

Frais d'inscription : 4900 / 7000 écus


Préambule
Nul ne peut appréhender le poids d'une couronne royale quand son front n'en fut jamais ceint... Nul ne connait la difficulté que représente la gouvernance d'un Royaume quand il n'a jamais régné.

Aussi nous garderons nous de juger la direction qui fut donnée au Royaume de France et nous contenterons nous de remercier, humblement et avec respect, Sa Majesté le Roy Levan et prier pour que le Royaume de France demeure à la hauteur de la confiance qu'il su placé en Ses sujets lorsqu'il décida de renoncer au trône pour laisser le peuple choisir un nouveau souverain.

Il est important de préciser qu'avant ce trente novembre dernier, l'idée d'une monarchie élective nous paraissait aussi farfelue que le sont les crapauds qui se changent en prince quand on les embrasse. Cependant, le fait est là, la fantaisie est devenue réalité et le Royaume de France demeure.

Convaincue que lorsqu'on ignore tout de l'Etat, on ne saurait le gouverner comme il convient, convaincue que lorsqu'on aime et sert le Royaume de France, on attend pas qu'une élection royale soit possible pour s'y investir et le servir, c'est avec détermination que nous nous présentons ce jour au jugement de tous pour déclarer notre volonté d'aspirer à la Couronne et de mettre notre personne et nos valeurs au service de tous, en chaque province, chaque bonne ville de ce Royaume.

Si la tâche de monarque nous est pas connue, nous avons, au fil du temps et des épreuves, gravit les diverses marches de l'escalier de l'état. De simple paysanne, à tavernière, de conseillère comtale à Comtesse régnante, d'Officier royal à Grand Officier de la Couronne et finalement, Pair de France.

Il nous semble souhaitable qu'un monarque décidé à conduire le Royaume soit partie prenante de sa conduite, puisse avoir conscience des différentes strates constituant son fonctionnement et des difficultés qu'elles connaissent.

Aujourd'hui, on peut devenir le Régnant du Royaume de France mais personne ne peut s'improviser un régnant éclairé, personne ne saurait gouverner s'il n'a jamais connu les affres des Institutions Royales.

Pour savoir, appréhender, deviner ce qui pénalise l'État, le bouche à oreilles, les amis, les financiers ne suffisent pas.

Pour agir tel qu'il conviendra d'agir, il faut un regard lucide et des valeurs morales à toutes épreuves.

Depuis des années déjà, années qu'il serait indécent et inutile de compter, nous servons ce Royaume et n'avons pas attendu qu'une Couronne royale soit en jeu pour nous investir au service des peuples de France et si nos compétences personnelles ne sauraient être universelles, par la pratique de l'exercice, les discutions et les aléas du travail d'équipe, nous avons su élargir nos connaissances et appris que le devoir de qui gouverne ne réside pas dans l'universalité ou l'omniscience mais dans la capacité de s'entourer des meilleurs, les plus honnêtes, les plus compétents afin de jouir de leurs capacités et de leur donner les moyens de réaliser ce qu'il convient de faire.

Placer en nous votre confiance reviendra à faire le choix de l'expérience, du dévouement et de l'abnégation.

Ce choix, faites le, pour vous, votre avenir et la préservation de la France à laquelle, tous, nous sommes attachés et que, tous, nous aimons... car la France, c'est un peu de Flandres, un peu de Périgord, un peu de Poitou, un peu de Gascogne, un peu de Champagne, un peu de... oui vous aurez compris... mais toutes ces différences, ensemble, forment la plus belle unité qui soit et c'est cette unité que j'aspire à voir renaitre...

Que les plus anciens se souviennent, que les plus jeunes se questionnent... nous sommes un seul et même peuple, tourné vers le même idéal ... c'est cette incarnation que vous offre de concrétiser, sans fausse promesse, sans fumisterie, sans déménagement récent pour glaner un cercle d'or à mettre autour de ma tête.




- Yolaine
Frais d'inscription : 2590 / 7000 écus


Lassés des politiciens bardés de titres nobiliaires qui se la jouent ?
Votez la simplicité ! Votez l'efficacité ! Votez la différence ! Votez Yolaine !
Mon programme en TROIS points :
1. LIBERTE - Je prône la liberté des peuples à disposer d'eux-même. Avec moi, les allégeances seront FACULTATIVES. Les provinces qui souhaiteront une AUTONOMIE renforcée seront libres de l'obtenir. Je permettrai une DECENTRALISATION du pouvoir. Toutes les entraves royales à la liberté des peuples seront abrogées.
2. EGALITE - La noblesse pour TOUS ! Il n'est pas normal qu'une catégorie de population ait moins de droits qu'une autre. J'anoblirai quiconque m'en fera la demande. Tout le monde pourra porter un titre et un blason sans encourir de procès. Les nobles obtiendront le droit de travailler, d'épouser un roturier. Tout le monde pourra participer aux chasses et aux joutes. Ce sera la fin du sectarisme.
3. FRATERNITE - Les français sont tous frères. Le pouvoir royal encouragera toutes les initiatives visant à rapprocher les provinces sans distinction et développer la solidarité. Je visiterai moi-même chaque ville du Royaume sans exception pour y promouvoir cet esprit. Chaque jour sera jour de fête.

Pour une Reine au service des Français et non l'inverse, Votez Yolaine !
Ratou42
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